dimanche 17 mai 2015

Votre dilemme de lecture - Ergonous - 3ème suite :3

Bonjour chers lecteurs, j'espère que vous allez bien, que tout se passe bien, Je suis désolée de ne pas pouvoir poster les jours J mais je vais faire plus de publications programmées comme ça vous les aurez ;)
En fonction de cela je rajouterais peut être un autre jour de publication en plus du lundi :)

Vous avez aujourd'hui un choix à faire, celui de me dire quelle partie vous préférez, de la suite d'Ergonous...
Oui, j'ai écrit la suite mais il y a un passage écrit de 4 manières différentes...

On commence par là où nous nous étions arrêtés la dernière fois :
Il est même possible de lire les deux premières parties ici pour la première partie et ici pour la deuxième partie .

Après avoir abandonné, il déblaya la pièce jetant les vieilleries dans un coin de la pièce, proche de la porte. Il avait déplacé le lit à sa manière, et ayant trouvé un balai derrière la porte de l’escalier de service, avait enlevé l’épaisse couche de poussière qui dormait ici depuis des années. Une fois cela finit, il sortit dans le couloir et essaya de se rappeler l’ordre des pièces dans lesquelles il passait la tête. Une fois monté au troisième étage, il explora encore les salles. L’ancienne salle de jeu qu’il avait aperçut sur le plan jaunit était intacte. Rien n’avait changé de place. Matt arriva sans mal à imaginer le jeu qui était en cours… Un jeu dans le style western puisqu’il y avait un personnage allongé sur les rails et le train était sur ces mêmes rails. Au fond de la pièce, à côté des fenêtres donnant sur l’allée, il trouva des poupées. Montant encore un étage, il se rendit compte qu’il en montait deux.

Puis là tout change


PREMIERE VERSION 1°
Le voilà donc au grenier où il ne voyait rien. La poussière s'étant accumulée au fil des ans, les lucarnes étaient grises. Et n'ayant pas de lampe, il descendit. Il essayait d'accéder au 4ème étage mais il lui fallait trouver l'escalier. Se rappelant le plan qu'avait son père, il chercha l'escalier de service dans la salle de jeu. Derrière un pan de mur se trouvait l'escalier. Montant les marches quatre à quatre il entra dans une pièce remplie de lits. Il s'agissait des chambres des domestiques. A sa droite il découvrit la cuisine. Il se demanda alors comment ils feront pour descendre les plats jusqu'à la salle à manger , qui était au 2ème, surtout qu'ils avaient laissé leurs domestiques à Flacksy. Retrouvant son père pour manger en ville, celui ci lui expliqua que pour la nuit qui venait, n'ayant pas de draps ou meubles pour dormir, ils devront dormir à même le sol. Le garçon fronça les sourcils mais n'eut aucun autre choix que d'approuver, n'ayant pas d'autre solutions.
La nuit avait été mauvaise, il y avait eut des souris dans la maison. A l'aube, on entendit un ronronnement, qui reveilla et le père et le fils. Tandis que le fils s'échappa on ne sait ou, le père en robe de chambre accueilla son épouse et sa fille, ainsi que les deux camions derrière. La jeune fille, rousse, regarda le manoir d'un air terrriblement mortel, tandis que la mère, grande blonde était admirative. Soudain, un hurlement se fit entendre et une fenêtre du 2ème s'ouvrit :
"L'eau est pétain de froide !"
La rousse éclata de rire, reprit un air sérieux et claqua des doigts. Apparut à ses côtés un monsieur.
"Oui mademoiselle ?
- Apportez moi Song !
- Tout de suite mademoiselle"
Le laquais disparut pour réapparaitre deux minutes plus tard avec un chihuaha dans ses bras. Pendant tout ce temps, des hommes déchargeaient la cabriolet d'où étaient descendu les deux femmes, ainsi que les deux camions, écoutant les directives du chef de famille. Celui ci glissa un mot à sa fille : "Deuxième, gauche première porte.". D'un signe de tête elle le remercia, prit sa valise, inspira une grande bouché d'air et se dirigea vers la maison. Quand elle ouvrit la porte, elle était à la limite de la renverse "Mon dieu... Où est ce que je suis...?"- pensa-t-elle. Elle passa outre et monta directement les deux étages pour rejoindre son frère. Lui une fois sorti de la douche il croisa sa soeur à qui il chatouilla les côtes. Puis dans sa chambre, il boutonna sa chemise, passa vite fait sa main dans les cheveux et zyeuta sur le jardin, c'est vrai, nous n'étions pas à Flacksy où des filles auraient déjà regardé la fenêtre. Dans ses pensées apparurent alors le visage blond de Mayla et il se dit qu'il irait la voir. Sur le chemin il croisa de nombreuses jeunes filles qui se retournaient sur son passage en gloussant, "Oh moins ca ne changera pas ça !"-pensa-t-il. "

DEUXIEME VERSION 2°

Le voilà donc au grenier où il ne voyait rien. La poussière s'étant accumulée au fil des ans, les lucarnes étaient grises. Et n'ayant pas de lampe, il descendit. Il essayait d'accéder au 4ème étage mais il lui fallait trouver l'escalier. Se rappelant le plan qu'avait son père, il chercha l'escalier de service dans la salle de jeu. Derrière un pan de mur se trouvait l'escalier. Montant les marches quatre à quatre il entra dans une pièce remplie de lits. Il s'agissait des chambres des domestiques. A sa droite il découvrit la cuisine. Il se demanda alors comment ils feront pour descendre les plats jusqu'à la salle à manger , qui était au 2ème, surtout qu'ils avaient laissé leurs domestiques à Flacksy. Retrouvant son père pour manger en ville, celui ci lui expliqua que pour la nuit qui venait, n'ayant pas de draps ou meubles pour dormir, ils devront dormir à même le sol. Le garçon fronça les sourcils mais n'eut aucun autre choix que d'approuver, n'ayant pas d'autre solutions.
La nuit avait été mauvaise, il y avait eut des souris dans la maison. A l'aube, on entendit un ronronnement, qui reveilla et le père et le fils. Tandis que le fils s'échappa on ne sait ou, le père en robe de chambre accueilla son épouse et sa fille, ainsi que les deux camions derrière. La jeune fille, rousse, regarda le manoir d'un air terrriblement mortel, tandis que la mère, grande blonde était admirative. Soudain, un hurlement se fit entendre et une fenêtre du 2ème s'ouvrit :
"L'eau est pétain de froide !"
La rousse éclata de rire, reprit un air sérieux et claqua des doigts. Apparut à ses côtés un monsieur.
"Oui mademoiselle ?
- Apportez moi Song !
- Tout de suite mademoiselle"
Le laquais disparut pour réapparaitre deux minutes plus tard avec un chihuaha dans ses bras. Pendant tout ce temps, des hommes déchargeaient la cabriolet d'où étaient descendu les deux femmes, ainsi que les deux camions, écoutant les directives du chef de famille. Celui ci glissa un mot à sa fille : "Deuxième, gauche première porte.". D'un signe de tête elle le remercia, prit sa valise, inspira une grande bouché d'air et se dirigea vers la maison. Quand elle ouvrit la porte, elle était à la limite de la renverse "Mon dieu... Où est ce que je suis...?"- pensa-t-elle. Elle passa outre et monta directement les deux étages pour rejoindre son frère. Lui une fois sorti de la douche il croisa sa soeur à qui il chatouilla les côtes. Puis dans sa chambre, il boutonna sa chemise, passa vite fait sa main dans les cheveux et zyeuta sur le jardin, c'est vrai, nous n'étions pas à Flacksy où des filles auraient déjà regardé la fenêtre. Dans ses pensées apparurent alors le visage blond de Mayla et il se dit qu'il irait la voir. Sur le chemin il croisa de nombreuses jeunes filles qui se retournaient sur son passage en gloussant, "Oh moins ca ne changera pas ça !"-pensa-t-il.

TROISIEME VERSION 3°

Le voilà donc au grenier cependant il ne voyait rien puisque les lucarnes ayant au fil des années accumulée une trop épaisse couche de poussière, ne laissaient plus passer la lumière. Il redescendit alors et voulait accéder au 4ème étage mais pour y monter, il lui fallait trouver l’escalier de service. Se rappelant grâce au plan, qu’il devait y en avoir un dans la salle de jeu, il chercha. Ayant ouvert la porte de ce qu’il pensait, un placard, qui était en réalité ce fameux escalier. Une fois monté, il découvrit l’étage des domestiques et des bonnes. Il n’y avait que des couchettes et à sa gauche une double porte. La poussant il entra dans la cuisine. Il se demanda alors comment ils feront pour apporter les plats dans la salle à manger puisqu’ils n’avaient plus de bonne, ayant laissé la leur à Flacksy.
Il alla donc retrouver son père qui était en train de se faire une partie de billard. Celui ci l’emmena en ville pour manger au restaurant. Il lui apprit donc entre deux bouchées de riz et de sushis que cette nuit, ils dormiraient à même le sol, n’ayant pas de matelas puisqu’ils arrivaient demain avec Mme. Dentsangui.
La nuit se passa mal pour Matt, il avait l’impression qu’il y avait eu des souris qui courraient dans la maison, ou voir pire, des rats. À l’aube, un ronronnement se fit entendre, réveillant père et fils. Une fois desendu, le père dans sa luxueuse robe de chambre, acceuillit sa épouse et sa fille ainsi que les deux camions de déménagement. De la Rolls Royce sortit un chauffeur qui se précipita pour ouvrir la porte de la jeune femme couverte d’un manteau Vogue, puis ouvrir la portière de la jeune fille, elle habillée en Zara Chic. La mère regardait le manoir d’un air admiratif et émerveillé, comme quelqu’un découvrant un nouveau-né, tandis que la fille la regardait d’un air dédaigneux, typiquement adolescent. C’est alors qu’on entendit un juron, puis une fenêtre qui s’ouvre, d’où la tête de Matt, décoiffé apparu : 
« L’eau, est pétain de froide !!! »
Sa sœur, ria doucement, ne pouvant se permettre de rire à gorge déployé comme le feraient les personnes moins civilisées. Elle s’arreta, et reprenant un visage neutre et dur, elle demanda au chauffeur, son PrinSnox. Un Husky sortit de la voiture, blanc comme la neige. Elle prit la laisse couverte, je ne saurais dire, de diamants ou de strass et rentra dans la maison.
« Sophia ! – la jeune fille se retourna, le chien dans ses mains – 2ème étage gauche … - lui cria son père » Elle sourit, dévoilant une rangée de dents blanches parfaites. Dans le hall, Sophia eut bien évidamment la même réaction que ses prédécesseurs. Elle passa outre et rejoignit son frère à l’étage. Torse nu, en boxer et la brosse à dent dans la bouche, il lui montra sa chambre et la sienne.
« J’espère qu’il y aura des mecs aussi bien foutu que toi dans ce trou, sinon je rentre à Flacksy illico !
- Déjà, de un, il n’y a pas de mec aussi bien foutu que moi, nul part sur terre, de deux, j’ai des gros doutes que t’en trouve, au pire, tu les force …
- Matt ! Et Bruce alors ? Je crois qu’il était un peu plus musclé que toi !
- L’année dernière oui, mais plus maintenant poupée !
T’a dormis où ?
- Dans le canapé – mentit-il, dormir dans ce canapé alors qu’il devait être infesté de blattes tu rêves, mais plutôt mentir que dire d’avoir dormi par terre…
- Peuh… Vous auriez pu vous prendre une chambre à l’hôtel, s’il y en a un bien sur… 
- Mouais…
Ils furent interrompu par les déménageurs qui rentraient dans la chambre de Sophia avec une armoire géante, et bien rose pimpkie. D’autres, allaient dans celle de Matt, et dans les autres pièces de la maison. En moins d’une heure, le sol était jonché de cartons. Matt s’occupa dans sa chambre puis descendit, décidant de faire un tour.
Il prit le chemin par lequel ils étaient venu avec la jeune fille de la gare, mince, comment s’appelait-elle déjà ? Melody ? Marie ? Ah oui ! Mayla ! Elle avait hanté les rêves du jeune homme, comment une fille aussi blonde pouvait exister ?! Cela dit, une fille aussi rousse que sa sœur n’existait pas non plus… "

QUATRIEME VERSION 4°
Elle ressemble fortement à la 3° mais d'abord elle commence plus loin, et ensuite elle prolonge.


[…] Al’aube un ronronnement se fit entendre, réveillant père et fils. Une fois descendu le père dans sa robe de chambre accueillit sa femme et sa fille ainsi que les deux camions de déménagement derrière la Rolls Royce. La fille regarda d’un air dédaigneux la maison au contraire de sa mère qui la regardait d’un air admiratif. On entendit un juron, puis une fenêtre qui s’ouvrit d’où la tête de Matt apparut
« L’eau est pétain de froide » La jeune fille éclata de rire puis se reprenant elle demanda au chauffeur « Junior ». Un golden Retriever sortit de la voiture avec un boit. Lui prenant la laisse elle se dirigea vers la maison.
« Sophia ! - la jeune fille se retourna vers son père - 2ème étage gauche ! » Elle lui sourit, dévoilant une ligne de dents blanches parfaites. Elle eut bien évidemment la même réaction que son père et son frère devant le lustre mais elle passa devant rapidement et atteignit l’étage où se trouvait son frère.
Une fois sortit de la douche, Matt boutonna sa chemise, passa la main dans ses cheveux et zieuta sur l’allée, mais non aucune donzelle ne sera là. Il ne sut trop pourquoi, le visage angélique de Mayla apparut dans sa tête. Il se dit alors qu’il irait la voir. Sur le chemin, dans le village, le jeune croisa de nombreuses demoiselles qui gloussaient en le voyant. L’habitué leur lançait des clins d’oeil et avait un sourire en coin…


Maintenant chers lecteurs, votre job est de me dire quelle version vous préférez où quelles versions combiner entre elles, c'est-à-dire garder un passage "..." de la 1° puis continuer avec ce passage là "..." de la 3° et finir avec celui là "..." du 4° (ceci est un exemple)

Pour envoyer votre réponse et avis, par commentaire ou par mail au lmasson27@gmail.com :) ou bien par twitter sur un de mes deux comptes @LizaMasson ou bien @Zalitdeslivres (deuxième compte officiel du blog alors que le premier est plus personnel quoi x) )

Voilà, profitez de votre journée et dites moi tout très soon (bientôt en anglais ;) )

PS : je vais supprimer certains post, en remanier d'autres sur lesquels il y aura donc marqué "EDIT" ;)
Liza

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